• Oui, on peut aller au boulot en vélo plutôt qu’en auto ! Super pour la nature, mais pour nous c’est la galère. Et puis on a des tonnes de choses à faire et les courses en vélo, ce n’est pas pratique.

     

    Est-ce que l’on se donne bonne conscience en se trouvant des excuses ? On pense écologique tous les jours, plutôt deux fois qu’une et on se sent vert jusqu’au bout des orteils. Mais au quotidien c’est plutôt je traîne les pieds. On est tellement habitué au train-train qu’il et difficile de changer !

     

    Alors dans la semaine, il faut aller au boulot, d’accord. Mais le week-end… On se met au vert. Patinettes et vélos sont de sorties…


    3 commentaires
  •  
    « Je ne sens pas encore la pression, mais je dois saisir toutes les chances qui se présentent ! » Voici les déclarations du champion autrichien, Hannes Arch, le jour de sa victoire, alors qu’il recevait une pluie de confetti, placé sur la plus haute marche du podium des Red Bull Air Race World Series. Hannes Arch a pu savourer pleinement une coupe de champagne après avoir gagné la course de Budapest. Se frottant maintenant au leader du classement, Paul Bonhomme, Hannes Arch peut être heureux d’avoir décroché un podium après seulement deux ans de participation aux World Series. Alors qu’il était encore en vol, les commissaires de course lui ont fait part de sa victoire, En descendant de son cockpit, l’Autrichien a témoigné devant la presse de son émotion soulignant qu’il avait les larmes aux yeux et quand il est monté sur le podium il n’a pas pu se retenir de verser une petite l
    arme, tellement il était heureux.

     

    Les Autrichiens savent faire la fête ! Et, Hannes Arch n’a pas manqué de fêter comme il se doit sa victoire, premièrement sur le podium acclamé par le public budapestois, puis dans les salons de l’Air Race Lounge, ensuite avec son équipe et les organisateurs dans le bar de l’hôtel pour terminer dans un club à la mode de Budapest où il a dansé jusqu’au petit matin.

     

    Hannes est né à Leoben en Styrie, une région thermale, sidérurgique et minière aussi appelée le verger d’Autriche, où l’on fabrique un délicieux jus de pommes, mais son lieu de prédilection reste Salzbourg. À peine âgé de 40 ans, l’aviateur a déclaré qu’il ne se sentait plus de joie après son triomphe et qu’après une nuit sans sommeil, il était frais comme un gardon.

     

    L’aviateur est quelqu’un qui a les pieds sur terre pour ne parler que par cliché. Il traite ses collègues de la course avec respect car ils sont tous des pilotes hors pair. Malgré tout, on sent que le « petit bleu » donne du fil à retordre à ses adversaires.

    Pour l’instant le pilote s’octroie quelques jours de vacances dans l’arrière pays salzbourgois. Au programme, randonnées et contact avec la nature ! Rien de tel pour recharger les batteries et relativiser et se préparer pour Perth.

    si vous souhaitez voir des photos : link

    FaceBook


    votre commentaire
  • Peter Besenyei, qui est né le 8 Juin 1956 à Körmend (Hongrie), est placé en 5e position au championnat du monde de la Red Bull Air Race 2008. Il est de plus reconnu comme étant le parrain de la course. Toujours professionnel, Besenyei, qui est aviateur depuis l’âge de 15 ans, reste toujours dans les mémoires pour avoir été le premier à voler la tête en bas et à passer sous le Pont des Chaînes de Budapest. Besenyei, dont l’avion couleur bleu minuit porte la livrée de l'écurie Red Bull, reste simple, modeste et même parfois il est surpris de sa célébrité alors qu’il a gagné de nombreux prix tout au long de sa carrière.

    Après une tentative infructueuse de piloter un Extra de construction allemande, en début de saison, le légendaire hongrois espère être revenu dans la course en reprenant les commandes d’un Edge : ceci afin d’entrer en lice pour une place plus honorable au tableau du championnat.

    Il est vrai que Peter Besenyei est connu pour ses exploits, sa dextérité et son laconisme mais cette saison a été plutôt frustrante pour lui. Ayant été l'un des pilotes les plus consistants sur la Red Bull Air Race, sa réussite a été contrariée cette année par le choix de son avion. Après s’être placé troisième l’année dernière et deuxième en 2005 et en 2006, le hongrois a estimé que le passage à l’Extra 300SR lui donnerait en 2008 l'élan dont il avait besoin pour rester au niveau du britannique, Paul Bonhomme et des Américains Kirby Chambliss et Mike Mangold.

    Comme bien d’autres pilotes avant lui, Besenyei a eu du mal à s'habituer aux commandes de l’Extra 300SR. En d'autres termes, son meilleur résultat cette année a été quatrième à Abu Dhabi, avant de chuter à la huitième place à San Diego et cinquième à Detroit. Besenyei s’est vite aperçu que son avion n'était pas assez rapide. Quand il a décidé revenir à son bon vieux Edge 540, il a retrouver un rythme de croisière. La course étant très technique, il faut avoir aussi les bons outils pour parvenir à la victoire. En effet en 2005, 2006 & 2007 il était monté deux fois sur la marche la plus haute du podium, mais cette année il n’a malheureusement pas gravi une seule marche.

    Depuis qu’il est revenu au Zivko Edge 540, exactement lors de la quatrième manche, Besenyei a redressé le cap se plaçant sixième à Rotterdam et quatrième à Londres. Il faut savoir que Besenyei est considéré comme l’un des meilleurs pilotes de sa génération et qu’il n’a jamais été disqualifié...

    Alors, Monsieur Peter Besenyei, on vous souhaite bon vent.

     






    Face Book + Red Bull Air Race


    votre commentaire

  • La Red Bull Reaccion offert une plate-forme pour la plupart des artistes talentueux jouant du ballon en Amérique du Sud. Red Bull Street Style ouvre désormais la voie au monde entier pour mettre en valeur ce sport mais aussi batailler. La dernière étape du championnat est prévue au Brésil, où les freestylers, qui ont bataillé dans plus de 40 concours nationaux, se retrouveront pour disputer « la finale mondiale ». La créativité individuelle est indispensable - le processus de sélection dans les concours régionaux d’élimination peut varier. Les règles pour la finale sont fixées.

     

    Les dernières nouvelles :

    La finale équatorienne de la Red Bull Street Style

    Gustavo Tello est le champion équatorien de football freestyle. 

    Des centaines de spectateurs se sont réunis sur la Plaza Colon à Guayaquil pour profiter d'un spectacle unique fait de contrôle de balle et réalisé par les meilleurs joueurs de freestyle du pays. Malgré le talent montré par tous les participants, Gustavo Tello, champion 2007 de la Red Bull Reaccion en Argentine, a remporté pour la deuxième année consécutive le titre national présentant un show incroyable et des mouvements super cool. Gustavo représentera l'Équateur dans la finale mondiale de la " Red Bull Street Style ", qui se tiendra à Sao Paulo en Novembre et où il va affronter les participants du monde entier.

    La compétition :
    1 ballon, 2 joueurs, 3 minutes

    La bataille a commencé à 19 h 00 dans l'emblématique Plaza Colón au centre-ville de Guayaquil.
    Huit joueurs se sont qualifiés pour les premières manche ayant lieu dans la nuit.

    La compétition a commencé avec la première série de quatre engagements, qui ont duré 3 minutes chacun avec un format en duel. Les joueurs ont pris en alternance le ballon pendant 30 secondes, en utilisant leur temps pour montrer les meilleurs mouvements artistiques se déplaçant au rythme du breakdance et du hip-hop. Le gagnant passe donc à l’étape suivante et le perdant est éliminé. Tous ont montré talent et créativité, mais Gustavo Tello, Diego Moreira, Martín Alvear et Juan Pereira ont été ceux qui se sont distingués aux yeux du jury composé des journalistes sportifs Andrés Gushmer et Luiggi Machiavelo, qui ont évalué le style, le contrôle du ballon et la créativité des mouvements ainsi que la façon de jouer.

    La demi finale, c’était comme une décharge d'adrénaline. Au rythme de la musique, les quatre finalistes se sont fait face dans deux manches féroces montrant leurs meilleures astuces avec beaucoup de style. Nous avons vu des contrôles de balle et des figures très créatives, mais les favoris ont définitivement été Martin Alvear et le Champion de la Red Bull Reaccion 2007 Gustavo Tello qui se sont rencontrés dans une ultime manche.

    Le jury et la foule présente savaient que ce serait une bataille acharnée, parce que tous deux ont présenté des contrôles et des figures captivantes durant toute la manifestation sportive. Mais, malgré leur grand talent et leur performance hors du commun, Gustavo Tello avait gardé quelques astuces pour la bataille finale ; il a surpris le jury et qui a fait de lui le champion de Freestyle équatorien pour la deuxième année d'affilée. Un mérite qui va l’emmener vers Sao Paulo pour la finale mondiale de la Red Bull Street Style ; là il se verra confronté aux meilleurs freestylers du monde.
    En raison de son format innovateur et à une combinaison de football, culture de rue, breakdance et musique, la Red Bull Street Style est un grand spectacle à ne pas manquer !

     

    Pour en savoir plus, consulter le site de la Red Bull Street Style: link

     


    votre commentaire
  • Nicolas Ivanoff est né à Ajaccio en 1967, Français ayant des origines greco-russes et instructeur de vol en Corse, il a fini la saison 2007 des Worlds Series de la Red Bull Air Race en se plaçant 7e et est monté une fois sur la plus haute marche du podium.


    Ivanoff est immédiatement sorti du peloton au commande de son CAP 232. Mais vers la mi-saison, Il a ajouté une nouvelle corde à son arc, que dis-je un atout de première classe en acquérant un Extra 300SR. Celui-ci lui a donné du fil à retordre, particulièrement lors de conditions venteuses, avant de lui donner des ailes. L’Extra 300SR est un avion très sensible, utilisé le plus souvent en compétition de voltige de haut niveau. Mais quand le vent s’est calmé et qu’Ivanoff a maîtrisé sa monture, il a pu démontré bien calé dans son cockpit qu’il s'avait manié son engin en arrachant une victoire dans la dernière manche de la saison 2007 à Perth.


    Même s’il s’agissait d’un pari difficile : « changer d’avion en cours de saison », Ivanoff n’a pas hésité à se lancer un défi. Mais ce fut vraiment un défi à relever que d’enfourcher en milieu de saison un destrier plus rapide que le premier et surtout de le débourrer. De plus une série de nouveaux problèmes s’annonçaient. C'était bien d'avoir un palefroi sous la main, mais il devait aussi être un vrai cheval de bataille qui réponde présent dans les joutes finales.

    Ivanoff a aussi d’autres atouts dans son jeu, outre sa dextérité il est aussi un des pilotes les plus élégants sur la course combinant la couleur de ses T-shirts et écharpes avec son avion et portant la combinaison avec élégance. Un vrai produit made in France ! Toujours convivial, Ivanoff a dans sa poche toujours une petite histoire à raconter. Ici on reconnaît bien la jovialité française. Bien sûr il parle Anglais avec un accent ! De ce côté, j’évite les persiflages car les adeptes de la langue de Molière sont bien connus dans le monde pour ne parler que leur langage. Donc « chapeau bas » pour Ivanoff qui n’hésite pas à parler franco avec les journalistes. J'ai bon espoir qu’au cours de la Red Bull Air Race il améliorera son anglais et je l’attends à Perth sur la Red Bull Air RAce le 1er et 2 Novembre 2008 .


    Copyright photos

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique