• 19 décembre 2008 - 20e jour du calendrier de l’avent et donc le vingtième conte de Noël (dans la troisième semaine de l’avent)… Noël approche à grands pas.

    Les présents des gnomes (Die Geschenke des kleinen Volkes), un conte des Frères Grimm. Photographies prises sur le calendrier de l’avent grandeur nature dans la vieille ville d’Innsbruck (Autriche).

     

    Un tailleur et un forgeron voyageaient ensemble. Un soir, comme le soleil venait de se coucher derrière les montagnes, ils entendirent de loin le bruit d'une musique qui devenait plus claire à mesure qu'ils approchaient. C'était un son extraordinaire, mais si charmant qu'ils oublièrent toute leur fatigue pour se diriger à grands pas de ce côté. La lune était déjà levée, quand ils arrivèrent à une colline sur laquelle ils virent une foule de petits hommes et de petites femmes qui dansaient en rond d'un air joyeux, en se tenant par la main ; ils chantaient en même temps d'une façon ravissante, et c'était cette musique que les voyageurs avaient entendue. Au milieu se tenait un vieillard un peu plus grand que les autres, vêtu d'une robe de couleurs bariolées, et portant une barbe blanche qui lui descendait sur la poitrine. Les deux compagnons restaient immobiles d'étonnement en regardant la danse. Le vieillard leur fit signe d'entrer, et les petits danseurs ouvrirent leur cercle. Le forgeron entra sans hésiter : il avait le dos un peu rond, et il était hardi comme tous les bossus. Le tailleur eut d'abord un peu de peur et se tint en arrière; mais, quand il vit que tout se passait si gaiement, il prit courage et entra aussi. Aussitôt le cercle se referma, et les petits êtres se remirent à chanter et à danser en faisant des bonds prodigieux; mais le vieillard saisit un grand couteau qui était pendu à sa ceinture, se mit à le repasser, et quand il l'eut assez affilé, se tourna du côté des étrangers. Ils étaient glacés d'effroi; mais leur anxiété ne fut pas longue...

     

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  • 18 décembre 2008 - 19e jour du calendrier de l’avent et donc le dix-neuvième conte de Noël (dans la troisième semaine de l’avent)… Noël approche à grands pas.

    Chat et souris associés (Katze und Maus in Gesellschaft), un conte des Frères Grimm. Photographies prises sur le calendrier de l’avent grandeur nature dans la vielle ville d’Innsbruck (Autriche).

    Le chat fit la connaissance d'une souris. Il l'assura si bien que ses sentiments envers elle étaient amicaux et chaleureux que la souris se laissa convaincre et finit par accepter de vivre avec le chat, sous le même toit. «Il nous faudra faire nos réserves de nourriture pour l'hiver,» dit le chat, «sinon nous risquons de mourir de faim. Toi, ma petite souris, tu ne peux pas aller partout, tu pourrais te faire prendre dans un piège.» C'était une bonne idée. Ils achetèrent alors un petit pot de saindoux mais ne savaient pas où le cacher. Ils réfléchirent longtemps et, finalement, le chat décida: «Sais-tu ce que nous allons faire? Nous le cacherons dans l'église; on ne peut imaginer meilleure cachette! Personne n'oserait emporter quelque chose d'une église. Nous poserons le pot sous l'autel et nous ne l'entamerons qu'en cas de nécessité absolue.» Ils portèrent donc le pot en ce lieu sûr, mais très vite le chat eut envie de saindoux. Il dit à la souris: «Je voulais te dire, ma petite souris, ma cousine m'a demandé d'être le parrain de leur petit dernier. Ils ont eu un petit, blanc avec des taches marron et je dois le tenir pendant le baptême. Laisse-moi y aller, et occupe-toi aujourd'hui de la maison toute seule, veux-tu?»

     

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  • 17 décembre 2008 - 18e jour du calendrier de l’avent et donc le dix-huitième conte de Noël (dans la troisième semaine de l’avent)….

    Blanche-Rose et Rose-Rouge (Schneeweißchen und Rosenrot), un conte des Frères Grimm.

    Photographies prises sur le calendrier de l’avent grandeur nature dans la vielle ville d’Innsbruck (Autriche).

     

    Une veuve vivait dans une maison coquette avec ses deux filles qu’elle avait prénommées Blanche-Rose et Rose-Rouge parce qu’elles ressemblaient aux boutons des deux rosiers sauvages, l’un blanc, l’autre rouge, qui croissaient en son jardin.
    Blanche-Rose et Rose-Rouge étaient des enfants bonnes, sages, travailleuses et vaillantes ; elles s’aimaient de tout leur cœur. Quand Blanche-Rose murmurait : " Nous nous aimerons ", Rose-Rouge répondait : " Toute notre vie " et leur mère ajoutait : " Ce que l’une aura, elle le partagera avec l’autre ".

    Ensemble, elles allaient au petit bois cueillir des fraises ; les animaux de la forêt les connaissaient bien. Le lièvre venait en boule rouler à leurs pieds et grignoter la carotte qu’elles lui avaient apportées. Les cerfs les égayaient de leurs bondissements majestueux et les oiseaux, au faîte des arbres, pépiaient et chantaient à gorge déployée. Quand elles s’attardaient dans la forêt et que la nuit les surprenait, elles couchaient l’une contre l’autre sur la mousse odorante, et s’endormaient jusqu’au matin. Leur mère ne se faisait pas de souci car elle savait qu’elles ne risquaient rien.

    Blanche-Rose et Rose-Rouge aimaient tant leur maison qu’elles la soignaient à longueur de journée. A la saison d’été, Rose-Rouge faisait le ménage et déposait tous les matins, avant que sa mère ne se réveillât, un bouquet de roses blanches et de roses rouges. A la saison d’hiver, c’était Blanche-Rose qui entretenait l’âtre où brillait la marmite de cuivre pendue à la crémaillère.

    Or, un soir d’hiver …

     

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  • 16 décembre 2008 - 17e jour du calendrier de l’avent et donc le dix-septième conte de Noël (dans la troisième semaine de l’avent)….

    Le stoïque soldat de plomb (Der standhafte Zinnsoldat), un conte d’Hans Christian Andersen. Photographies prises sur le calendrier de l’avent grandeur nature dans la vielle ville d’Innsbruck (Autriche).

     Il y avait une fois vingt-cinq soldats de plomb, tous frères, tous nés d'une vieille cuillère de plomb. L'arme au bras, la tête droite, leur uniforme rouge et bleu n'était pas mal du tout. La première parole qu'ils entendirent en ce monde, lorsqu'on souleva le couvercle de la boîte fut : des soldats de plomb ! Et c'est un petit garçon qui poussa ce cri en tapant des mains. Il les avait reçus en cadeau pour son anniversaire et tout de suite il les aligna sur la table.

    Les soldats se ressemblaient exactement, un seul était un peu différent, il n'avait qu'une jambe, ayant été fondu le dernier quand il ne restait plus assez de plomb. Il se tenait cependant sur son unique jambe aussi fermement que les autres et c'est à lui, justement, qu'arriva cette singulière histoire.

    Sur la table où l'enfant les avait alignés, il y avait beaucoup d'autres jouets, dont un joli château de carton qui frappait tout de suite le regard. A travers les petites fenêtres on pouvait voir jusque dans l'intérieur du salon. Au-dehors, de petits arbres entouraient un petit miroir figurant un lac sur lequel voguaient et se miraient des cygnes de cire. Tout l'ensemble était bien joli, mais le plus ravissant était une petite damoiselle debout sous le portail ouvert du château. Elle était également découpée dans du papier, mais portait une large jupe de fine batiste très claire, un étroit ruban bleu autour de ses épaules en guise d'écharpe sur laquelle scintillait une paillette aussi grande que tout son visage. La petite demoiselle tenait les deux bras levés, car c'était une danseuse, et elle levait aussi une jambe en l'air, si haut, que notre soldat ne la voyait même pas. Il crut que la petite danseuse n'avait qu'une jambe, comme lui-même.


     

    Celui ci je le connaissais. Enfin, il n’y a pas eu que Blanche-Neige et Cendrillon dans ma vie de petite fille. Si vous voulez lire la suite...cliquez ici 
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  • 15 décembre 2008 - 16e jour du calendrier de l’avent et donc le seizième conte de Noël (dans la troisième semaine de l’avent)….

    La gardeuse d'oies près de la fontaine (Die Gänsehirtin am Brunnen), un conte des Frères Grimm. Photographies prises sur le calendrier de l’avent grandeur nature dans la vielle ville d’Innsbruck (Autriche).

     

    Il y avait une fois une vieille bonne femme, qui vivait avec son troupeau d’oies dans une solitude entre des montagnes, et avait là une petite maison. Cette solitude était entourée d’une grande forêt, et chaque matin la vieille prenait sa béquille et s’en allait au bois d’un pas branlant. Une fois là, la bonne vieille s’occupait très activement, bien plus qu’on ne l’aurait cru à voir son grand âge; elle ramassait de l’herbe pour ses oies, cueillait des fruits sauvages aussi haut qu’elle pouvait atteindre, et rapportait tout cela sur son dos. On aurait pensé qu’elle devait succomber sous un pareil fardeau, mais elle le rapportait toujours heureusement au logis. Quand elle rencontrait quelqu’un, elle le saluait très amicalement: “Bonjour cher voisin, il fait beau aujourd’hui. Cela vous étonne sans doute que je traîne cette herbe, mais chacun doit porter sa charge sur son dos.” Pourtant les gens n’aimaient pas à la rencontrer; ils préféraient faire un détour, et si un père passait près d’elle avec son petit garçon, il lui disait tout bas: “Prends garde à cette vieille, elle est rusée comme un démon, c’est une sorcière.”…

     

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