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17e jour de l’avent : Le stoïque soldat de plomb
16 décembre 2008 - 17e jour du calendrier de l’avent et donc le dix-septième conte de Noël (dans la troisième semaine de l’avent)….Le stoïque soldat de plomb (Der standhafte Zinnsoldat), un conte d’Hans Christian Andersen. Photographies prises sur le calendrier de l’avent grandeur nature dans la vielle ville d’Innsbruck (Autriche).
Il y avait une fois vingt-cinq soldats de plomb, tous frères, tous nés d'une vieille cuillère de plomb. L'arme au bras, la tête droite, leur uniforme rouge et bleu n'était pas mal du tout. La première parole qu'ils entendirent en ce monde, lorsqu'on souleva le couvercle de la boîte fut : des soldats de plomb ! Et c'est un petit garçon qui poussa ce cri en tapant des mains. Il les avait reçus en cadeau pour son anniversaire et tout de suite il les aligna sur la table.
Les soldats se ressemblaient exactement, un seul était un peu différent, il n'avait qu'une jambe, ayant été fondu le dernier quand il ne restait plus assez de plomb. Il se tenait cependant sur son unique jambe aussi fermement que les autres et c'est à lui, justement, qu'arriva cette singulière histoire.
Sur la table où l'enfant les avait alignés, il y avait beaucoup d'autres jouets, dont un joli château de carton qui frappait tout de suite le regard. A travers les petites fenêtres on pouvait voir jusque dans l'intérieur du salon. Au-dehors, de petits arbres entouraient un petit miroir figurant un lac sur lequel voguaient et se miraient des cygnes de cire. Tout l'ensemble était bien joli, mais le plus ravissant était une petite damoiselle debout sous le portail ouvert du château. Elle était également découpée dans du papier, mais portait une large jupe de fine batiste très claire, un étroit ruban bleu autour de ses épaules en guise d'écharpe sur laquelle scintillait une paillette aussi grande que tout son visage. La petite demoiselle tenait les deux bras levés, car c'était une danseuse, et elle levait aussi une jambe en l'air, si haut, que notre soldat ne la voyait même pas. Il crut que la petite danseuse n'avait qu'une jambe, comme lui-même.
Celui ci je le connaissais. Enfin, il n’y a pas eu que Blanche-Neige et Cendrillon dans ma vie de petite fille. Si vous voulez lire la suite...cliquez ici
qui vous mènera sur un autre article de mon blog.Sinon allez directement sur le site officiel d’ Hans Christian Andersen.
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Commentaires
1ZonedevieMardi 16 Décembre 2008 à 10:07Répondre
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