Les magnifiques peintures et rosaces en marbre dans l'église " Sant'Anastasia " à Vérone m'ont fasciné. La basilique est le monument gothique le plus visité de Vérone et son sol est en marbre rouge, blanc et noir réalisé en 1462.

 

 

L'église Santa Anastasia est l'église la plus vaste de Vérone. On ne peut pas la manquer car elle n'est pas loin de la fameuse place Piazza delle Erbe. (N'oubliez pas que pour visiter les églises de Vérone, il faut payer un denier. J'ai pris le ticket pour 4 églises qui vallent vraiment le détour).

 

 

Tous ces beaux monuments ont vraiment une âme. Il suffit de s'y promener pour ressentir leur beauté intrinsèque. Et puis, il faut bien que je vous le dise... je suis tombée amoureuse de Vérone et de ses vieilles pierres.

 

 

Magnifique rosace, qui je m'en rend compte aujourd'hui, m'a inspiré un mandala qui est en train de sécher sur mon chevalet.

 

 

ET aujourd'hui c'est le 4e dimanche de l'avent !
J'allume donc ma dernière bougie avec vous avant Noel !

Il n’y a pas une définition du mandala, mais plusieurs définitions. Chaque personne a sa vision du mandala.

 

Dans le mandala je trouve une douceur car qu’importe le thème de mon mandala je retrouve toujours cette paix fondamentale qui est en moi.

 

 

 

Le mandala bien qu’il soit un support de méditation est plus une rencontre avec soi-même où les questions qui se posent à notre conscience humaine prennent formes. Ainsi si mon esprit est calme, j’utilise volontiers le dessin et l’aquarelle car il me faudra plusieurs jours pour terminer le mandala. Certains projets que j’ai en tête me prennent parfois des mois et curieusement ils sont pratiquement tous réalisés à l’acrylique. C’est pratiquement un enfantement. Mais le dessin et la mise en couleur du mandala m’apportent toujours relaxation et concentration.

 

 

 

Si par contre, mon esprit est agité per les mille et une questions du quotidien alors le pastel est mon support préféré et dans la ligne de Carl Gustav Jung, puisque qu’un mandala doit être fait d’un trait.

 

 

Je ne médite pas sur mes mandalas au sens de les regarder intensément. Ils sont simplement une rencontre avec le cœur de l'infini. Après les avoir faits, ils restent quelques jours sur mon chevalet puis regagnent ensuite leur havre de paix (mon carton à dessin). Je vois souvent, lorsque je ferme les yeux, des caléidoscopes qui sont en mouvement.

 

 

 

Pour Carl Gustav Jung, le besoin de dessiner un mandala apparaît dans la psyché, le plus souvent en périodes difficiles ou la perplexité, la peur, la désorientation apparaissent. Pour nous, sur la communauté c’est plutôt un chemin et une lente prise de conscience vers la voie.

 

 

Pour moi, faire un mandala, c'est mettre sa vie dans un cercle. Je dessine, j’observe ceux des personnes qui partagent avec nous sur la communauté leur vision, j’apprends… et je ressens comme une paix.

 

Nous entrons demain dans la période de l'avent !
Je vous souhaite de vivre ses quatres semaines dans la paix et l'amour.

 

Mandala aux pastels : Est-ce la goutte qui fait déborder le vase ?

 

 

 

Mandalas bleus aux pastels

Mandala à l'huile

 

L'ange de la paix

chante dans notre monde.

Ecoutons le avec respect

chantez la gloire du nouveau monde.

Mandala aux pastels : Recherche de connection aux pastels